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05/01/2009

UNE NOUVELLE CRITIQUE !

froggy-delight-bleu.gifUne nouvelle critique sur ma nouvelle Pièce, provenant de "FROGGY'S DELIGHT", le site web qui frappe toujours 3 coups !

Pour la consulter en ligne, cliquer ici !


Les tentations électives - Théâtre du Nord-Ouest (Paris) janvier 2009

Comédie de Benjamin Oppert, mise en scène de Philippe Brigaud, avec Aurélien Charle, Christine Melcer, Rémy Oppert et Michel Pilorgé.

Benjamin Oppert est fils de comédien et au fait, de par ses fonctions passées auprès d'élus parlementaires et municipaux, des arcanes politiciennes. Rien d'étonnant, dès lors, que sa deuxième pièce "Les tentations électives", une cocasse comédie finement satirique et habilement ficelée, soit nourrie des deux thèmes que sont l'hypocrisie théâtrale et la comédie politique.

Tout commence par une retransmission, depuis le Théâtre du Nord-Ouest, d'une fantaisiste cérémonie des Molière, Molière qui sera présent tout au long de l'intrigue par le biais de citations et détournement de répliques, sous la houlette de Michel Pilorgé, impayable maître de cérémonie plastronnant, dépassé par des événements inopinés.

En effet, celui-ci se voit ravir la vedette par plus bavard que lui en la personne du récipiendaire interprété de manière savoureuse par Rémy Oppert, cabot magnifique en fin de carrière qui joue de tous les trémolos pour magnifier sa personne et nourrir des remerciements fleuves et de la ministre de la culture qui saisit l'occasion pour la détourner en tribune politique.

Mais ce comédien et cette ministresse, executive woman carriériste délicieusement interprétée par Christine Melcer, ne sont pas des inconnus mais d'anciens amis très proches qui se sont perdus de vue et dont les retrouvailles inattendues réservent bien des surprises.

Servie par une mise en scène rigoureuse de Philippe Brigaud, totalement adéquate et agrémentée de judicieux intermèdes pour les changements d'acte, et par ces comédiens aguerris, auxquels se joint le jeune Aurélien Charle, cette comédie éclairante et divertissante qui épingle, d'une certaine manière, la société du spectacle qui instrumentalise l'homme et le détourne des vraies valeurs, ressortit de la bonne comédie à la française sans céder à la facilité ni verser dans le gros boulevard.

Elle révèle aussi un jeune auteur dramatique qui a le sens de l'intrigue, sait traiter de sujets contemporains, et cependant intemporels, avec un sens aigu de l'observation, et ciseler des dialogues concis et maîtrisés tout en faisant mouche avec des mots d'auteur.

Le public est conquis par cette comédie humaine et, bien entendu, toute ressemblance avec des personnes existantes ne saurait être que fortuite.

MM


01/12/2008

J - 1 AVANT LA PREMIERE !

Friedrich.romantisme.Chateaubriand.jpgJe reviens de la dernière répétition.

Objectivement, le spectacle a de la gueule. Mais est ce possible, pour moi, d'être objectif...

07/07/2008

SUCCES EN NORMANDIE !

f0bfdf8d6f773adf6ebbf22bfc6ed06f.gifJe ne m'attendais pas à un tel accueil suivi d'un tel succès !

Partis à 9 h de Paris, dans deux voitures, nous sommes arrivés en Seine-Maritime vers 11 h. La Mairie de Gournay-en-Bray (j'en profite pour la remercier à nouveau !), avait placardé des affiches de ma Pièce partout dans la Ville. La presse départementale annonçait notre arrivée.

Toute la journée a été consacrée aux longues répétitions (jeu des comédiens, entrées et sorties, bande-son, bruitage, etc) organisées par la metteuse en scène sur la très grande scène de la Salle des Fêtes.

A 19 h, la Mairie nous a invités à dîner dans une brasserie avec, au menu, des spécialités normandes. Sur le moment, j'ai pensé que ça alourdirait les comédiens, une heure avant le début de la représentation ! Mais au contraire, cela leur a redonné du tonus après la fatigue du voyage et des répétitions.

20 h 30 : malgré un gros orage, les premiers spectateurs arrivent en masse. Il y a très vite 130 personnes dans la Salle. Il a même fallu rajouter des places !

21 h : la Pièce commence. J'avais adapté mon texte : les noms de rues et de quartiers cités dans "Entre Père et Maire" portaient ceux de la Ville qui nous accueillait. De plus, le Maire, dans ma Pièce, avait le même prénom que celui de Gournay, ce qui a beaucoup plu au public et aux Elus de la Ville.

22 h 20 : la dernière réplique de ma Pièce déclenche, comme d'habitude, les rires et les applaudissements. Les comédiens sont rappelés sur scène à deux reprises !

Après de nombreux échanges avec les spectateurs et des remerciements pour les techniciens, nous reprenons la route pour Paris.

Cette journée restera un grand moment. C'était la première fois que ma Pièce était jouée en dehors de la capitale ce qui m'a procuré une émotion très particulière, le sentiment d'avoir accompli quelque chose de spécial... Ca donne envie de faire une tournée en France dans d'autres Mairies !

21/06/2008

UN NOUVEL ARTICLE SUR MA PIECE

41b4bb61856398f1c02034485e447a85.gifArticle paru dans le Magazine "LA LETTRE DU CADRE TERRITORIAL" - 1er juin 2008

EN VUE - AU THEATRE CE SOIR !


Benjamin Oppert taille la vie communale...en pièce avec "Entre Père et Maire" qui (s'est jouée) au Théâtre du Nord-Ouest à Paris, sur les boulevards. A défaut d'être lui-même en haut de l'affiche, ce Cadre juridique dans une commune puis Chef de Cabinet confiait "avoir beaucoup de choses à dire sur la vie des communes en général".

Le "pitch" de la Pièce laisse une large place aux coulisses du monde politique : "Dans une société qui tend à nous formater, Alexandre, Chef de Cabinet du Maire, oscille entre les ressorts de son passé, les influences contradictoires de ses proches et ses propres envies. Sur fond de férocité politique, entre dualité et complémentarité, cette Pièce dénonce les clichés des apparences et la difficulté à trouver sa place".

La presse, à l'image du "Parisien", le quotidien de la capitale, s'est largement fait l'écho de la Pièce de ce fin connaisseur du monde local, auteur à ses heures perdues (on pressent qu'elles sont rares) pour Territorial.

Surtout, loin d'un règlement de comptes, sa Pièce mise beaucoup plus sur la bonne humeur, à travers les relations homme/femme et employeur/employé.

Sur son Blog, l'auteur souligne qu'après deux rappels, le 18 mai, alors que le dernier "noir" se fait, "je vois les yeux qui pétillent. J'aime ce moment privilégié où je peux discuter avec les spectateurs, cueillir à chaud leurs impressions, répondre à celles et ceux qui veulent en savoir plus".

Sa Pièce vient d'être "achetée" par une ville de Normandie pour la jouer en juillet, et l'auteur recherche d'autres collectivités et théâtres qui souhaitent une représentation. Avis aux amateurs.

Bruno Cohen-Bacrie

http://www.territorial.fr/47-lettre-du-cadre.htm

13/06/2008

DERNIERE REPRESENTATION A PARIS !

6bd64a732249fa39cf2040b0f05008b5.jpgDernière représentation de ma Pièce à PARIS :

DIMANCHE 15 JUIN à 19 H

Lieu : THEATRE DU NORD OUEST
13 rue du Faubourg Montmartre
PARIS 9ème
Métro : Grands Boulevards

Après cette date, il faudra, pour voir "Entre Père et Maire", être ou aller en Normandie où elle sera jouée en juillet !