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18/11/2008

A L'AFFICHE !

Les Tentations Electives.jpgEn exclusivité (!), voici l'affiche de ma nouvelle Pièce, la Comédie des "Tentations Electives" à partir du 2 Décembre 2008 à PARIS 9ème au THEATRE DU NORD-OUEST, 13 rue du Faubourg-Montmartre - Métro Grands Boulevards !

A noter : mon père, Rémy OPPERT, joue, dans ma Pièce, le rôle principal.

Infos et réservations au 01 46 60 09 36.

21/06/2008

UN NOUVEL ARTICLE SUR MA PIECE

41b4bb61856398f1c02034485e447a85.gifArticle paru dans le Magazine "LA LETTRE DU CADRE TERRITORIAL" - 1er juin 2008

EN VUE - AU THEATRE CE SOIR !


Benjamin Oppert taille la vie communale...en pièce avec "Entre Père et Maire" qui (s'est jouée) au Théâtre du Nord-Ouest à Paris, sur les boulevards. A défaut d'être lui-même en haut de l'affiche, ce Cadre juridique dans une commune puis Chef de Cabinet confiait "avoir beaucoup de choses à dire sur la vie des communes en général".

Le "pitch" de la Pièce laisse une large place aux coulisses du monde politique : "Dans une société qui tend à nous formater, Alexandre, Chef de Cabinet du Maire, oscille entre les ressorts de son passé, les influences contradictoires de ses proches et ses propres envies. Sur fond de férocité politique, entre dualité et complémentarité, cette Pièce dénonce les clichés des apparences et la difficulté à trouver sa place".

La presse, à l'image du "Parisien", le quotidien de la capitale, s'est largement fait l'écho de la Pièce de ce fin connaisseur du monde local, auteur à ses heures perdues (on pressent qu'elles sont rares) pour Territorial.

Surtout, loin d'un règlement de comptes, sa Pièce mise beaucoup plus sur la bonne humeur, à travers les relations homme/femme et employeur/employé.

Sur son Blog, l'auteur souligne qu'après deux rappels, le 18 mai, alors que le dernier "noir" se fait, "je vois les yeux qui pétillent. J'aime ce moment privilégié où je peux discuter avec les spectateurs, cueillir à chaud leurs impressions, répondre à celles et ceux qui veulent en savoir plus".

Sa Pièce vient d'être "achetée" par une ville de Normandie pour la jouer en juillet, et l'auteur recherche d'autres collectivités et théâtres qui souhaitent une représentation. Avis aux amateurs.

Bruno Cohen-Bacrie

http://www.territorial.fr/47-lettre-du-cadre.htm

08/06/2008

EN COULISSES

Une frayeur lors de la représentation d'hier.

Il était 18 h 50, soit 10 minutes avant le début du spectacle. La salle était pleine. Je vais encourager les comédiens dans les loges quand je m'aperçois qu'il en manque un.

C'était celui qui incarne Mr Landru.

Je lui téléphone aussitôt. Il était chez lui, persuadé que la représentation devait avoir lieu le lendemain ! "Non tu déconnes ?" me dit-il. Il croyait que je lui faisais une blague.

Heureusement, il habite à Paris. "Je saute sur un Vélib' et j'arrive !" me dit-il en stress.

Vingt longues minutes plus tard, je vois mon Landru arriver en nage !

Résultat : seulement dix minutes de retard sur l'horaire prévu. Ca aurait pû être pire...

02/06/2008

UNE SPECTATRICE INATTENDUE...

84a35cfaed6d0009e877813b0887316f.jpgHier, lors de la représentation de ma Pièce, j'ai eu la surprise et le plaisir de voir dans le public ma Prof de Lettres de mes années collège !

J'avais 12 ans et elle a beaucoup compté pour moi à cette époque. C’est un attendrissant souvenir qui me ramène à elle.

La soixantaine pensive et réfléchie, elle aurait pu inspirer la Comtesse de Ségur pour une petite fille modèle qui aurait eu quelques années de plus. Elle a un visage sage et élégant, témoin léger du passage du temps. Le gris fumé de son éternel chignon l’emporte sur quelques mèches blanches égarées, ce qui lui donne l’aspect combatif d’une jeunesse d’âme.

Il y a chez certaines personnes une philosophie de la vie qui émane d’elles dès le premier contact. Physiquement et intellectuellement, il se dégage d’elle un mélange de tradition et d’ouverture d’esprit qui la rendait très attentive et à l’écoute de ses élèves. Elle nous répétait souvent que le voussoiement qu’elle pratiquait était non pas un signe de distance mais une sincère marque de respect.

Cette adorable femme m’avait voué dès ma première copie une véritable affection. Elle me trouvait d’une sensibilité et d’un talent hors-pair. Je nous savais liés par une incroyable complicité.

Pour continuer à lui plaire, je soignais mes copies comme jamais. Je documentais mes fiches de lecture de « Vendredi ou la vie sauvage », « Croc-Blanc » ou « La gloire de mon père » en les illustrant par des photos des auteurs, des représentations des personnages. C’était ma touche personnelle, mon originalité, ma marque de fabrique.

Toujours en retard, je terminais de recopier mes brouillons chez moi le matin même de la remise des copies. Même les mal inspirées, les mal achevées se retrouvaient par miracle classées malgré tout dans les meilleures.

Je me souviens qu'elle souhaitait que je devienne écrivain...

Hier au Théâtre, elle m'a confessé qu'elle avait, en cachette à l'époque du Collège, recopié une de mes rédactions pour la garder en souvenir...

28/05/2008

UNE NOUVELLE CRITIQUE

a3c61bb27894b92c4fdf20d7d802b7ac.jpgUne nouvelle critique sur ma Pièce a été publiée.

Pour la lire :

http://www.blog-territorial.com/article-19891264.html